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ANALYSE - Page 45

  • le parisien et la réponse du Maire de Drancy qui est aussi Député et qui fait les lois !!!!!!!!

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    La réponse du Député Maire est bien loin du code du travail et des lois et réglement qui s'en suive.

    A partir du moment qu'un seul salarié est dans l'entreprise et dans un local, l'accès à ce local et au salarié ne peut étre interdit à un syndicaliste par qui que ce soit.

    C'est le Baba de la liberté de circulation donné au représentant du Personnel. La CGT l'a rappellé au Maire dans sa lettre au Prefet qui sera sans doute formatrice dans le domaine des lois du travail pour le Député Maire de Drancy, secrétaire aux lois... Mais qui semble les oublier...

    Le personnel a demandé à étre assisté "collectivement" (nombreuses demandes), nous étions dans une réunion entre le personnel et les représentants de l'employeur. Les délégués du personnel sont de droit en capacité à les assister.

    extrait du code du travail (droit commun des syndicats) :

    Liberté de déplacement : C. trav article L2315-5 (ancien art. L424-3).

    "Par ailleurs, le Code du travail prévoit qu’aucune limitation ne peut être apportée à l’exercice du droit syndical. Toute entrave peut être pénalement sanctionnée. "

    Mais la violence fut t 'elle qu'un juge doit statuer sur un tel délit.

    Cliquez sur la page en image réduite pour lire l'article du Parisien

     

  • MEMOIRE POUR DRANCY

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    introductif droit syndicauxIII.pdf

     

    Le Maire de Drancy a décidé de rayer 50 ans de droits syndicaux. Lors de la négociation du nouveaux protocole d'accord, il propose un texte "copier coller" du décret alors que des droits locaux existent. Par un coup de tète, il décide seul de retirer la signature de la Ville.

    La CGT des territoriaux a demandé au Maire de redescendre sur terre.

    Mais il semble qu'il n'écoute que les juges.

    Nous attendrons donc que la justice mesure qu'une signature est un acte important et que les clauses de rétractations sont à appliquer avant le n'importe quoi.

     

  • Le 7 juin : Votons pour l’Europe sociale

    Déclaration CE CGT 93

     

     

    Le 7 juin : Votons pour l’Europe sociale

    Les formidables mobilisations unitaires et interprofessionnelles des 29 janvier,
    19 mars et 1er mai, confortent la détermination des salariés. Depuis, les luttes se développent dans de nombreuses entreprises et services publics sur l'emploi, les salaires, la retraite et le pouvoir d'achat avec en toile de fond une crise du capitalisme sans précédent.

     

    C'est dans ce contexte que s'engage la campagne des élections européennes. Ces dernières années, l'Union Européenne a été utilisée par les gouvernements et le patronat pour opérer la dérèglementation généralisée à l'origine de la crise avec en point d'orgue le passage en force du traité de Lisbonne. Les euros luttes et euro manifestations ont marqué dans cette période la volonté d'empêcher la remise en cause de nombreux droits. Elles ont permis aux salariés de dire non au travail de nuit pour les femmes, non à la retraite à 70 ans et non au travail généralisé le dimanche.

     

    La CGT 93 s'est mobilisée pour obtenir la consultation du peuple sur le projet de traité de constitution européenne. Lors de ce débat, elle avait estimé que ce texte ne répondait pas aux aspirations d'une Europe sociale dans un monde solidaire et avait appelé à rejeter ce traité.

    La victoire du NON lors du référendum de 2005, avait clairement signifié le rejet des politiques libérales menées depuis trop longtemps.

     

    Fort de ce constat, les syndicalistes portent des propositions pour des droits européens pour les salariés, un SMIC européen harmonisé par le haut, ainsi qu'une autre politique bancaire, fiscale et du crédit. Le rôle de la Banque Centrale Européenne devrait être placé sous le contrôle du parlement européen et des parlements nationaux.

     

    Nous voulons œuvrer pour une Europe sociale qui contribue à la réorientation de la mondialisation, tournée vers un avenir de paix et la réduction des inégalités dans le monde.

     

    Avec les organisations syndicales européennes, nous agissons pour le renforcement des droits sociaux ayant le statut de droits fondamentaux en Europe.

     

    En votant le 7 juin 2009, les salariés pourront porter leurs exigences de progrès social en France et en Europe.